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Cognitive friction (la théorie de friction cognitive) définitions
La théorie de friction cognitive (Cognitive Friction Theory), développée par Sweller (1988), fait référence à la quantité maximum d’efforts intellectuels que peut faire notre mémoire vive. Sweller décrit notre processus de cognition en trois parties : la mémoire sensorielle, la mémoire vive ou à court-terme, et la mémoire à long terme. Notre mémoire sensorielle reçoit toutes les informations de chacune de nos actions quotidiennes (ce que l’on entend, voit, sent, etc.). Ces informations sensorielles passent ensuite dans notre mémoire vive qui les traite ou les rejette. Lorsque notre cerveau traite des informations, les catégorise, les apprend et les insère à un schéma d’apprentissage, ces informations passent dans notre mémoire à long terme. Elles deviennent ensuite plus faciles à assimiler, et nous les traitons de façon automatique, sans effort.
La théorie de friction cognitive est l’idée que la capacité de notre mémoire à court terme est limitée et donc que nous comprenons et apprenons plus facilement ce qui ne nous surcharge pas en efforts intellectuels et informations superflues. En d’autres termes, faire face à une lourde charge cognitive a des effets négatifs sur notre capacité à effectuer une tâche et mène à davantage d’erreurs et d’interférences. Nous apprenons mieux les chosent qui coïncident avec notre architecture cognitive.
Par exemple, des expériences ont montré que la généralisation des ordinateurs et téléphones portables de nos jours tend à réduire la réussite scolaire des étudiants. En effet, cela augmente leur niveau de distractions et le nombre de tâches qu’ils font en même temps (par exemple regarder son compte Facebook ou son téléphone tout en écoutant le cours) donc augmente leur charge cognitive.
La théorie de friction cognitive a des applications en web marketing et dans la conception des nouvelles technologies : certaines fonctionnalités de navigation peuvent provoquer chez vos utilisateurs un état de contrainte cognitive qui diminue leurs chances d’agir de façon satisfaisante. Drawing to add (to discuss) Adapted from Atkinson, R. C. and Shiffrin, R. M. (1968). 'Human memory: A Proposed System and its Control Processes'. In Spence, K. W. and Spence, J. T. The psychology of learning and motivation, (Volume 2). New York: Academic Press. pp. 89–195.
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